Do you want to develop deeper knowledge in health law, policy and ethics to supplement your career or studies? We are now accepting applications for our Summer Institute, a one-week online program running May 22–26. This year the focus is the law, policy, and future of the Canadian health workforce. The Institute is led by instructors drawn from research, law, government, and health care practice. Aimed at both professionals and university students, no prior experience or legal training is required. Class size is limited, so we encourage you to apply soon!
Audrey Ferron Parayre (droit civil) du CDPÉS a obtenu un financement des IRSC pour un projet de trois ans qui étudie la mise en œuvre des droits des femmes dans le contexte des violences obstétricales et gynécologiques (VOG). Les VOG sont diverses formes d’abus, d’irrespect et de maltraitances perpétrées dans le cadre de soins obstétricaux et gynécologiques. Il peut s'agir, par exemple, de procédures telles que le déclenchement de l'accouchement sans le consentement éclairé de la patiente, l'intimidation et la réprimande pendant le travail et l'accouchement, et l'ignorance des demandes d'information ou d'aide. Le projet comprend le financement de deux étudiant(e)s en LL.M. et d'un étudiant(e) en doctorat de droit—voir ici pour plus de détails.
Vous pouvez voir une discussion sur la VOG dans la série de webinaires du CDPÉS dans Mieux cerner un enjeu émergent : les violences obstétricales.
We invite applications from JD students/ JD graduates interested in pursuing a Master in Laws (LLM) project with a focus on how human life cycles are understood. We hope to hear from JD students who have an interest in health law, geriatric law, maternal health law, Indigenous law, and others. The legal and health care communities are becoming aware that their abilities to understand and respect all bodies of knowledge regarding birth, life, and death are still minimal. Co-supervised by Professors Jennifer Chandler and Signa Daum Shanks, the LLM student will have an opportunity to broaden their academic efforts in health law, Indigenous law, and the history of health sciences reinforcing colonizing attitudes about the value of Indigenous knowledge. Finding in thhe amount of $15,000 is available. (English only)
Dans la foulée de la conférence 2021 du CDPÉS sur le don et la transplantation d'organes, Jennifer Chandler a lancé une collaboration avec le Programme canadien de recherche sur le don et la transplantation afin de publier un certain nombre de documents d'information rapide pour nous aider à comprendre les enjeux dans un langage simple et clair. Neuf documents traitent de questions spécifiques telles que l'adhésion, la non-adhésion, le don du vivant, le don à la suite d'une assistance médicale à mourir, et bien d'autres encore.
Voir également notre chaîne YouTube pour les vidéos complètes de la conférence.
La professeure Monique Potvin Kent est l'auteur d'un nouveau rapport financé par Heart & Stroke qui examine la publicité de la malbouffe sur les médias sociaux. Ces conversations en ligne sont animées non seulement par des marques mais aussi par des individus, ce qui représente une nouvelle forme de marketing appelée « contenu généré par l'utilisateur ». Les jeunes sont particulièrement vulnérables à ce phénomène en raison de leur plus grande confiance et de leur plus grande familiarité avec les personnes faisant partie de leurs réseaux sociaux...
Voir aussi Toronto Star, La Presse op eds.
Dans une récente interview accordée à la CBC, l'ancienne ministre des sports, la députée Kirsty Duncan, a raconté sa propre histoire d'abus en tant qu'athlète et a réitéré son appel à une enquête judiciaire nationale sur les abus dans le sport. La pression est de plus en plus forte sur l'actuelle ministre Pascale St-Onge et le gouvernement fédéral pour qu'ils convoquent une telle enquête. La campagne a pris de l'ampleur ces dernières semaines après qu'un groupe de plus de 100 universitaires ait signé une lettre ouverte de soutien. Daphne Gilbert était l'une des signataires de cette lettre et a rédigé un éditorial sur le sujet—vous pouvez en lire le texte intégral dans le Ottawa Citizen.
La conférence annuelle du CDPÉS—et notre première conférence hybride en ligne et en personne—s'est terminée en octobre. Les vidéos complètes des panels sont disponibles sur notre chaîne YouTube. Cette année, le sujet était le contrôle des frontières pendant le COVID et les pandémies à venir. Ici, les frontières comprennent non seulement les frontières nationales, mais aussi les frontières provinciales/étatiques, ainsi que les « frontières » à l'intérieur de locaux tels que les hôpitaux et les maisons de soins de longue durée. Les panels ont couvert l'histoire, la communication, les soins de longue durée, les institutions psychiatriques, les sans-abri, les migrants et les réfugiés, les études de cas et le droit international, les passeports et les technologies de vaccination, etc.
Une épidémie d'Ebola en Ouganda a tué des dizaines de personnes depuis son annonce en septembre. Les efforts ont été entravés par le fait qu'il n'existe aucun vaccin approuvé pour cette forme du virus, l'espèce Ebola-Soudan, moins courante. Pourtant, un vaccin candidat viable, produit il y a plus de dix ans dans un laboratoire du gouvernement canadien, a passé des années sur une étagère en raison d'un système de recherche et de développement médical motivé par le gain commercial plutôt que par les besoins de santé publique. Jason Nickerson et Adam Houston écrivent dans le Globe & Mail...
La crise des opioïdes en Amérique du Nord a entraîné près de 30 000 décès depuis 2016 et dévaste les communautés à travers le Canada. En réponse à l'escalade des overdoses, Santé Canada a officiellement approuvé la fourniture d'un "approvisionnement plus sûr" en médicaments réglementés pour les personnes qui risquent de faire une overdose sur le marché non réglementé toxique. De nombreuses évaluations de l'approvisionnement sûr sont en cours à travers le Canada, mais il est nécessaire d'approfondir les recherches sur l'impact de ces programmes. La professeure Vanessa Gruben dirige une équipe de chercheurs interdisciplinaires pour répondre à cette question. Certains groupes plaidant pour une expansion des programmes d'approvisionnement sûr et d'autres pour un retour aux traitements traditionnels, l'équipe a pour objectif de rassembler la littérature émergente, d'interviewer les acteurs du domaine et de cartographier les débats.
Lorsque de nouvelles recommandations sur la consommation d'alcool ont été publiées à l'intention des Canadiens, c'est le titre qui a suscité le plus d'attention et de mépris. En fait, bon nombre des autres recommandations ont été ignorées. La limitation de la consommation d'alcool s'appuie sur de nombreuses données scientifiques et il existe de nombreuses façons de s'y prendre. Mais fixer un objectif de deux verres par semaine est-il la bonne façon de procéder ? Quelle est l'importance des messages pour obtenir des résultats concrets ? Y a-t-il des leçons à tirer, tant de la pandémie que de l'approche du Canada en matière de tabagisme, qui pourraient nous aider à boire moins, sans pour autant susciter le ridicule de ceux qui apprécient quelques bières ? David Sweanor, du CDPÉS, s'exprime sur le podcast CityNews.
Retour sur les débats qui ont suivi le renversement de l’affaire Roe c. Wade en juin : La décision de la Cour suprême des États-Unis jette une ombre inquiétante au Canada. Alors que nous nous préparons à une conversation importune qui revient sur une question bien établie dans ce pays, nous devrions aller de l’avant avec un nouveau paradigme pour définir les droits à l’avortement. La professeure Daphne Gilbert du CDPÉS écrit dans l’Ottawa Citizen. Voir aussi notre webinaire de juillet : Abortion at a Crossroads – Bracing for the Impact of American Bans.
Certaines compagnies de tabac ont commencé à parler du remplacement des cigarettes par des alternatives moins nocives, qui pourraient inclure les produits de vapotage, les produits de tabac chauffé et les produits de nicotine orale. Cet article manuscrit paru dans Nicotone & Tobacco Research, cosigné par David Sweanor du CDPÉS, compare le comportement des compagnies de tabac aux États-Unis avant et après 2012, en analysant l'impact de la croissance des produits de vapotage sur le tabagisme et sur les profils des compagnies.
Le professeur Oguamanam a obtenu la Chaire de recherche de l’Université en bio-innovation durable, en systèmes de savoir autochtone et en gouvernance mondiale du savoir. En tant que nouveau président, le professeur Oguamanam a pour objectif de faire progresser les sociétés justes grâce à la participation équitable des peuples autochtones et des communautés locales du monde à la production mondiale de connaissances et à ses avantages. Les recherches du professeur Oguamanam apporteront une contribution originale au repositionnement des gardiens du savoir autochtone et local des anciennes formes de gouvernance du savoir vers de nouveaux modèles mieux adaptés aux progrès technologiques du XXIe siècle. Le professeur Oguamanam dirige également ABS-Canada et est cofondateur du partenariat Open Africa Innovation Research (Open AIR) financé par le CRSH et le CRDI.
Créée en 2004, l’ACSS réunit les meilleurs scientifiques et chercheurs en santé et en biomédecine du Canada dans le but de comprendre et de régler les problèmes de santé au Canada. L’élection comme membre de l’ACSS est un honneur rare. La professeure Chandler est un membre fondatrice du CDPÉS et est titulaire de la Chaire de recherche Bertram Loeb sur le don d’organes et de tissus. Ses recherches explorent les aspects juridiques et éthiques de la science et de la technologie biomédicales, en mettant l'accent sur les sciences du cerveau ainsi que sur le don et la transplantation d'organes. Elle contribue également régulièrement à la politique gouvernementale canadienne sur les questions difficiles de biomédecine—par exemple, elle a récemment corédigé un rapport sur les mesures de protection liées à l’aide médicale à mourir dans le contexte de la maladie mentale.
Nous sommes ravis d'annoncer que le dernier livre de Maureen McTeer, FERTILITY : 40 Years of Change, a été publié par Irwin Law. Ce livre explore les principaux développements médicaux, de recherche et juridiques en matière de reproduction humaine assistée depuis la naissance du premier bébé issu de la FIV en 1978. Avec une grande perspicacité, Maureen analyse la façon dont le Canada a réagi aux nombreuses possibilités juridiques et sociétales que cette technologie de reproduction fondamentale a créées, comme de nouveaux types de relations humaines, le traitement de l'infertilité, la recherche sur les embryons humains et les possibilités révolutionnaires pour la société soulevées par la combinaison des technologies de reproduction et de génétique, alors que nous créons, manipulons et modifions la vie humaine en laboratoire.
Ces dernières années, certaines personnes souffrant de déficiences visuelles ont retrouvé un certain degré de vue grâce à des "yeux bioniques". Mais la société à l'origine de ces implants a cessé de soutenir cette technologie. Eliza Strickland, rédactrice en chef de la publication technologique IEEE Spectrum, et Jennifer Chandler, professeure au CDPÉS, expliquent comment cette situation a laissé certaines personnes dans l'ignorance. À l'émission The Current de la CBC :
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Voir aussi Their Bionic Eyes Are Now Obsolete and Unsupported, dans IEEE Spectrum >
Raywat Deonandan est co-investigateur d'un nouveau projet financé par une subvention et dirigé par Angel Foster: Exploring the Impact of COVID-19 on Abortion Care in Canada: A Mixed-Methods Study Dedicated to Service Delivery and Utilization. Le projet est financé par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) sur une période de deux ans. Vous pouvez voir Angel Foster en compagnie de Melissa Upreti, Joanna Erdman et Daphne Gilbert du CDPÉS lors du webinaire de la semaine dernière, Rights to Abortion: 2022 and Beyond.
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L'indignation récente de certains membres du Parlement au sujet d'une prétendue collecte secrète de données sur les Canadien(ne)s par l'Agence de la santé publique du Canada illustre à quel point beaucoup sont mal informés sur les différents types de données personnelles - et sur la façon dont elles devraient être utilisées ou non. Michael Wolfson écrit dans le Globe & Mail...
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Voir aussi Les données sur la santé des Canadiens sont dans un état lamentable :
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Selon l'Association canadienne pour la santé mentale, un Canadien sur cinq vit actuellement avec une maladie mentale. À l'âge de 40 ans, la moitié des Canadiens en ont souffert—ou en souffrent—sous une forme ou une autre. Entre 2009 et 2019, on a constaté une augmentation de 60 % des visites aux urgences et des hospitalisations chez les adolescents. Seul un jeune Canadien sur cinq reçoit le traitement nécessaire. La Commission de la santé mentale du Canada estime que les problèmes et les maladies de santé mentale coûtent au Canada environ 50 milliards de dollars par an. Nous pouvons et devons faire mieux. Yasmin Khaliq écrit dans le Ottawa Citizen...
Lorsque les passeports ou certificats de vaccination ont été lancés en Ontario, certains se sont réjouis de ce développement et d’autres s’y sont fortement opposés. Ce lancement a soulevé une myriade de questions juridiques, éthiques et politiques par rapport à la protection de la vie privée. Les juridictions du monde entier sont aux prises avec la pandémie mondiale persistante et les exigences inhabituelles de démontrer la vaccination afin d’entrer dans certains espaces publics ou privés. Le 27 septembre, Colleen Flood, Bryan Thomas et Kumanan Wilson du CDPÉS étaient accompagnés de Vivek Krishnamurthy, directeur de la Clinique d’intérêt public et de politique d’Internet du Canada (CIPPIC) de l’Université d’Ottawa, ainsi que de Marie-Eve Sylvestre, doyenne de la Section de droit civil. Vous pouvez visionner la vidéo complète du webinaire et de la discussion ici.
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Écoutez également Colleen Flood sur le podcast Law Bytes, animé par le professeur Michael Geist.
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Patrick Fafard du CDPÉS a été interviewé par Markham Hislop sur le rôle des groupes consultatifs scientifiques et des preuves et conseils scientifiques en général dans la gestion de la pandémie par les gouvernements.
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Les technologies numériques transforment rapidement la manière dont le droit est administré. L'écosystème dans lequel évoluent les tribunaux a changé de manière brutale et précipitée pendant la pandémie, ce qui a accéléré de manière spectaculaire la « numérisation judiciaire » à une échelle et à un rythme que notre système judiciaire n'aurait jamais envisagé auparavant. Cela a abouti, par exemple, à ce que les procédures judiciaires se déroulent sur Zoom, Teams et autres. Ce mariage de convenance de facto peut, en un mot, être qualifié de partenariat non structuré né prématurément par nécessité... Karen Eltis écrit dans le blogue Cyberlaw du Federmann Cyber Security Research Centre.
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L'IA dans les soins de santé a le potentiel d'améliorer les résultats cliniques, la qualité des soins et l'objectivité de la prise de décision clinique. Cependant, elle peut aussi perpétuer ou exacerber la discrimination dans les soins de santé en produisant des résultats sur la base de caractéristiques arbitraires telles que la race, le sexe et l'orientation sexuelle, prises d'une manière qui n'est pas cliniquement pertinente. Cette discrimination peut résulter d'une combinaison de biais algorithmiques (biais dans le codage ou la mise en œuvre de l'apprentissage automatique) ou de biais dans les données (utilisation de données d'entraînement non représentatives, y compris des données masquant une discrimination systémique). Si ces problèmes ne sont pas atténués, les avantages de l'IA dans les soins de santé risquent de se réaliser au détriment des groupes marginalisés. Il s'agit d'un problème complexe qui nécessite des réponses concertées de la part du gouvernement ainsi que des acteurs privés....
Bradley Henderson, Colleen M. Flood, et Teresa Scassa écrivent dans un préprint, hébergé sur SSRN.
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En savoir plus sur le projet de recherche Machine M.D. >
Les résultats des élections fédérales canadiennes venaient à peine d'être comptabilisés que les premier.ère.s ministres provinciaux recommençaient à réclamer des fonds fédéraux supplémentaires pour les soins de santé. Au lieu de remercier Ottawa pour les milliards qu'il a déjà versés pour lutter contre la COVID-19, ou de demander un financement à court terme pour la lutte contre la pandémie, le chœur rituel réclame des sommes toujours plus importantes pour les décennies à venir. Il est vrai que le besoin d'argent supplémentaire semble urgent en ce moment. Un certain nombre de provinces ont même du mal à doter leurs hôpitaux en personnel, après presque deux ans de conditions de travail qui ont provoqué l'épuisement des travailleurs de la santé de première ligne. Cependant, les demandes des premiers ministres provinciaux, qui se chiffrent à plusieurs milliards de dollars, portent sur un financement inconditionnel à long terme, bien au-delà de la portée de la crise actuelle. Il est tout à fait raisonnable de leur demander d'expliquer comment l'argent sera utilisé, d'autant plus que dépenser plus pour les soins de santé ne signifie pas automatiquement de meilleurs résultats pour la santé. Michael Wolfson, du CDPÉS, écrit.
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