



w/ Dr. Anderson Chuck (President and CEO, CIHI), Dr. Paul Hébert (President, CIHR), Mari Teitelbaum (Chief Information Officer, CHEO), Dr. Amol Verma (University of Toronto Medicine) & Dr. Kumanan Wilson (CEO, Bruyère Health Research Institute)
Le Cercle des survivants pour la justice reproductive et le CDPÉS ont publié aujourd’hui un rapport consacré aux technologies de procréation assistée (TPA) pour les survivants autochtones de stérilisation forcée ou sous contrainte au Canada. Fondé sur les expériences des survivants, le rapport examine la disponibilité des services utilisant les TPA à travers le pays qui offrent un soutien en matière de fertilité aux survivants souhaitant entreprendre un traitement. Il passe en revue les options de traitement, les coûts, les ressources accessibles au Canada ainsi que les mesures de sécurité culturelle offertes aux Autochtones. Le rapport examine également la disponibilité de services similaires aux É-U et dans d’autres pays. Le Cercle des survivants administre par ailleurs un Fonds d’aide à la guérison aux survivants de stérilisation forcée ou sous contrainte, lequel offre un financement pouvant atteindre 30 000 $ pour l’accès à des services utilisant les TPA.

Nous sommes heureux d'annoncer la publication aujourd'hui du rapport de l'Académie canadienne des sciences de la santé sur le trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale (TSAF). Ce trouble neurodéveloppemental constitue un problème complexe de santé publique qui recoupe de manière importante les structures juridiques — qu'il s'agisse du système de protection de l'enfance, des formes de soins primaires et de traitement des dépendances qui sont financées et accessibles, ou encore des limites du système de justice pénale en tant que réponse. Jennifer Chandler, du CDPÉS, a présidé un panel d'experts au cours des 18 derniers mois, aboutissant à ce vaste rapport de 400 pages. Ce document intègre les résultats de revues de la littérature et de politiques, ainsi qu'un processus exhaustif de consultation publique et auprès des parties prenantes. L'Agence de la santé publique du Canada a commandé ce rapport, notamment pour éclairer sa réponse à un projet de loi proposant un nouveau cadre stratégique gouvernemental visant à répondre au TSAF.
Les étudiant(e)s diplômé(e)s du CDPÉS et de McGill se réunissent les 28 et 29 avril pour notre colloque annuel conjoint, qui se tient cette année à Montréal. Les étudiants présentent leurs recherches dans le cadre de panels sur les droits et l'équité en matière de santé, les préoccupations de santé publique, les questions émergentes en matière de soins de santé et les cadres éthiques et juridiques, présidés par des professeurs du CDPÉS et de l'Université McGill. Les étudiants d'Ottawa présents cette année sont Zainab Lawal, Joackim Tamale, Emmanuel Nwatu, Diana Urian, Veronica Vered, Shreya Nair et Lauren Hancock. Chaque année, cet événement favorise la collaboration, le mentorat et la discussion critique sur les défis urgents en matière de droit, de politique et d'éthique de la santé.

We are looking for an outstanding scholar from the U.S. to join the Centre for Health Law, Policy and Ethics at the University of Ottawa, Canada for four months in 2026/27. We are the largest centre of our kind in Canada and one of the largest in the world. The chairholder will join our vibrant community of scholars, with the opportunity to interact with faculty and graduate students from law, social sciences, medicine, health sciences, management, and the arts. Our location in Canada's capital enables the chairholder to address issues of national and international significance and to network with leading policy makers and jurists.
Rosalie Ayotte est la récipiendaire de la bourse d'études supérieures en Droit et Politiques de la santé reproductive pour 2025-26, offerte conjointement par la Chaire Shirley E. Greenberg sur les femmes et la profession juridique et le Centre de droit, politique et éthique de la santé (CDPES). À l'automne 2025, elle commencera sa maîtrise en droit à l'Université d'Ottawa, sous la supervision de la professeure Audrey Ferron Parayre, membre du CDPES. La thèse de recherche de Rosalie portera sur les violences obstétricales et gynécologiques (VOG), soit les mauvais traitements infligés aux femmes pendant l'accouchement, y compris, par exemple, les interventions non consenties telles que les césariennes, le langage irrespectueux, la négligence et la discrimination. Elle cherchera des corrélations entre la violation des droits et les procédures de soins, tels que les guides de pratique, les protocoles et les directives cliniques, actuellement en place dans la province de Québec. Elle se penchera également sur la participation des femmes au processus d'élaboration de ces politiques et procédures, qui est l'une des clés permettant de minimiser l'incidence des VOG.

Récemment publié par les Presses de l'Université d'Ottawa, cet ouvrage édité par Vanessa Gruben, directrice du CDPÉS, et Chelsea Cox explore la manière dont les différentes approches de la réduction des risques peuvent créer une base plus solide pour des politiques et des législations plus efficaces. Des chercheurs en droit et en sciences sociales collaborent avec des organisations de première ligne ainsi qu'avec des personnes ayant une expérience vécue afin de refléter diverses perspectives et de transformer la façon dont la société aborde les défis liés aux substances, qu'il s'agisse des opioïdes, du cannabis ou du tabac.